Mise à jour 18/10/2022 :Toutes les activités d’apprentissage et d’évaluation peuvent être organisées en présentiel. En pratique, les amphithéâtres, salles de cours, salles de travaux pratiques, salles informatiques, bibliothèques et salles d’étude peuvent être occupés à 100 % de leur capacité. Depuis le 7 mars 2022, le port du masque n'est plus obligatoire lors des activités d'enseignement, ni pour les étudiant·e·s, ni pour les enseignant·e·s. Chacun·e est toutefois libre de porter un masque ; un masque de type FFP2 est recommandé pour les personnes vulnérables sur le plan médical. Le port du masque reste toutefois obligatoire dans les établissements de soins (p. ex. le CHU de Liège).
Les personnes qui sont malades ou présentent des symptômes du Covid-19 doivent impérativement rester à domicile conformément aux règles générales en vigueur
Le virus circule toujours, et le respect des recommandations suivantes permettra de réduire le risque d'infection par le SARS-CoV-2 (Severe Acute Respiratory Syndrome coronavirus 2)
Le chien et le chat sont des espèces réceptives pour des coronavirus, comme d'ailleurs la plupart des mammifères. Plusieurs dizaines de chats et chiens, dont les propriétaires étaient eux-mêmes atteints par le virus, ont d’ailleurs été identifiés comme positifs au virus de par le monde. A ce stade, le chien ou le chat peut être contaminé par le propriétaire infecté par le virus mais il n’y a pas de cas de transmission naturelle à d’autres animaux ni à l’homme (une transmission entre chats a été mise en évidence en conditions expérimentales). A ce jour, il n’y a donc aucune évidence que ces espèces représentent un risque d’infection pour l’homme mais il est cependant toujours vivement recommandé d’appliquer les principes d’hygiène de base lors de tout contact avec un animal.
Les mustélidés (ex : visons et furets) sont très susceptibles au virus. Des cas d’infection naturelle ont été observés chez des furets domestiques. De nombreuses contaminations ont déjà été rapportées au sein d’élevages de visons, dans plusieurs Etats membres de l’UE et en Amérique du Nord. Des employés infectés seraient à l’origine de l’introduction du virus dans ces élevages. L’infection a ensuite pu circuler entre animaux susceptibles pour finalement être retransmise à l’homme (anthropozoonose), comme il a été avancé pour plusieurs cas rapportés chez des employés de fermes d’élevage aux Pays-Bas. Un variant associé aux visons avait été isolé au Danemark en 2020. La prudence est donc de mise vis-à-vis de ces espèces.
De nombreuses espèces sauvages, dont certaines en captivité telles que les grands félins (tigres, lions, léopard des neiges), les chiens viverrins ou encore des primates non-humains (gorilles) ont été identifiés comme infectés par le SARS-CoV-2, ainsi que des cerfs de Virginie.
Animaux de laboratoire : les hamsters sont très susceptibles, par contre la susceptibilité des souris semble discutée
A ce jour, il n’existe aucune évidence de transmission du virus de l’homme à d’autres espèces d’élevage domestiques, tels que les ruminants et les porcs, en conditions naturelles.
En juin 2020, l’infection au SARS-CoV-2 a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en Belgique. La notification est obligatoire pour tous les détenteurs d’animaux, les vétérinaires et les laboratoires.
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